À LMO-Lyon, nous observons chaque jour que la coopération, le respect, la solidarité et l’empathie ne sont pas des qualités “innées” : ce sont des compétences qui s’apprennent, qui se vivent, et qui se cultivent.

Et le plus beau, c’est que ça marche.

La coopération, une compétence de vie

Apprendre à coopérer, c’est bien plus que “travailler ensemble”.
C’est écouter, partager, trouver sa place dans un groupe, et comprendre que chacun a quelque chose à apporter.
Dans notre école, les enfants apprennent la coopération à travers des projets, des jeux collectifs, des conseils d’élèves, et surtout… par l’exemple au quotidien.

C’est une question que l’on pose très tôt, parfois dès la maternelle :
“Et toi, tu veux faire quoi plus tard ?”
Astronaute, vétérinaire, footballeuse, maîtresse, pompier…
Les réponses sont souvent mignonnes, mais la question, elle, est profondément réductrice.

Elle enferme déjà l’enfant dans une case, une projection figée, alors qu’il n’a pas encore eu le temps de découvrir qui il est.
On raisonne à l’envers : on part du métier pour aller vers la personne, alors que c’est la personne qui devrait précéder le métier.

Chez LMO, nous faisons le chemin inverse

Souvent, je dis aux parents, “nous sommes une école de campagne en ville”.

Il y a huit ans, nous avons lancé un projet qui semblait marginal : créer une école alternative. Une petite structure, pensée pour respecter le rythme de chaque enfant, pour donner à chacun sa place, et pour réinventer l’école à notre façon.

Avec le temps, nous avons découvert une réalité étonnante. Ce que nous imaginions « alternatif » s’est révélé être simplement… l’école telle qu’elle devrait être. Une école où l’on apprend vraiment, où l’on se sent reconnu, où les familles et les enseignants avancent ensemble.

Un enfant qui bouge sans cesse, qui interrompt, qui n’arrive pas à tenir assis… Faut-il y voir un signe d’hyperactivité ? Pas toujours.
Chez LMO Lyon, nous observons un phénomène récurrent : certains enfants dits “hyperactifs” ne souffrent pas d’un déficit d’attention, mais d’un manque de stimulation intellectuelle. Leur besoin d’apprendre, lorsqu’il est bridé trop tôt, se transforme en frustration… qui s’exprime ensuite par l’agitation et parfois l’agressivité.

Le monde change vite. Les enfants qui grandissent aujourd’hui vivront demain dans une société où l’intelligence artificielle, la programmation et la robotique feront partie du quotidien. Alors pourquoi attendre l’université ou le premier job pour s’y plonger ?

Explorer, comprendre, créer

Apprendre à coder, c’est comprendre que derrière chaque application ou robot, il y a une logique qu’on peut décoder.
Découvrir l’IA, c’est réaliser qu’elle n’est pas une boîte noire magique, mais un outil que l’on peut interroger, tester, détourner.
Construire un robot, c’est transformer des idées abstraites en un objet concret, qui bouge, qui réagit.

Ici, la curiosité est reine : on expérimente, on fait, on se trompe, on recommence. C’est l’esprit DIY appliqué aux technologies.

Choisir la première école de son enfant est une décision délicate. À LMO – Les Montessoriens de l’Ouest – nous pensons qu’il s’agit même d’un moment fondateur. Parce que les premières années de vie posent les bases de toute la scolarité… et bien plus encore.

Une période sensible pour apprendre en profondeur

Entre 0 et 6 ans, le cerveau de l’enfant est une véritable éponge. Il apprend avec une facilité et une intensité inégalées : langage, gestes, émotions, logique, coordination… Chaque expérience compte. C’est pourquoi un cadre pensé pour favoriser l’autonomie, l’exploration libre et la sécurité affective peut transformer cette période en un tremplin exceptionnel.

Une pédagogie respectueuse et exigeante

Notre cadre pédagogique est basé sur trois piliers: une approche sensorielle et concrète grâce au matériel Montessori, le respect programme de l’Education Nationale, les connaissances neuropsychologiques…

“Comment se passe la transition entre l’école LMO et le collège ?” Les parents qui nous posent cette question partagent généralement les mêmes préoccupations :

• “Mon enfant ne sera-t-il pas en retard sur le programme ?”

• “Comment va-t-il s’adapter à ce nouvel environnement ?”

• “Va-t-il se sentir perdu, trop différent des autres ?”

• “Va-t-il se faire des amis ?”

Le passage en sixième est souvent perçu comme un moment de stress et d'incertitude tant pour les enfants que pour leurs parents.

Les années sont passées depuis notre ouverture en 2018, et des enfants sont inscrits dans plusieurs collèges, publics ou privés.

Et là, nous avons observé que les enfants ont vécu sereinement leur passage en 6ème. Bien sûr il y a une période d’adaptation, mais chaque enfant s’adapte, comprend le nouvel environnement dans lequel il est, même la majorité des enfants sont très heureux de continuer à gagner “encore” en autonomie. 

L'éducation est un pilier fondamental de la société, et la taille des classes dans les écoles primaires joue un rôle crucial dans la qualité de l'apprentissage. Cet article explore les nombreux avantages d'avoir un petit effectif dans les écoles primaires, en mettant en lumière l'impact positif sur l'apprentissage des élèves, la gestion de la classe et la préparation à la vie.

Comment se libérer de ses barrières mentales ? Le vécu en École Primaire en question !

“J’ai des blocages” “Je procrastine” “Je me retrouve toujours dans les mêmes situations relationnelles” “Je ne me sens pas légitime” “J’ai besoin d’être formé pour le faire”....

“CE N’EST PAS DE TA FAUTE !!!” (extrait Will Hunting) du moins pas complètement. Partant de ce constat, je vous propose d’explorer les différentes façons de se libérer de nos barrières mentales, en mettant l'accent sur l'expérience vécue durant les années à l’école primaire. Les barrières mentales peuvent souvent entraver notre développement personnel et académique, et il est essentiel de comprendre comment les surmonter, surtout à un jeune âge. À travers des exemples et des réflexions, nous verrons comment l'éducation primaire peut jouer un rôle crucial dans la formation de l'esprit et la libération des contraintes mentales. Comprendre ce processus appelle à déconstruire certains de nos schémas mentaux, et à se reprogrammer en fonction de sa façon d’être et de ses aspirations.

“Mais Papa, Maman, à quoi ça va me servir d'apprendre ça….” En tant que parent nous avons tous entendu cette phrase pendant la scolarité de nos enfants.

C’est une des raisons pour lesquelles nous avons créé l’école LMO en 2018.  Notre objectif est d’adapter en permanence le parcours scolaire au monde d'aujourd’hui et de demain. La programmation, la robotique,  l'art, l'écologie et la philosophie font partie intégrante de notre pédagogie…

L’impression 3D : expérimentation, créativité et… persévérance !

Pour la fête des pères, ma fille m’a offert un cœur imprimé avec une imprimante 3D !

Un cadeau original qui traduit la démocratisation des imprimantes 3D et de logiciels de conception, notamment auprès de la jeune génération. Ces nouveaux outils numériques permettent à chacun de concevoir facilement des objets créatifs et personnalisés, voire complexes.

La conception 3D est un exercice très complet qui stimule l’intellect et demande de la créativité mais aussi de l’ingéniosité afin de définir le bon volume, la solidité suffisante, les proportions justes pour une pièce réussie.

Au sein de l’école LMO, nous disposons d’une imprimante 3D que nos élèves adorent utiliser : leurs créations depuis un ordinateur prennent vie en quelques instants (le temps d’impression peut varier en fonction de la complexité de la pièce à imprimer). Imaginer un objet sur ordinateur puis tenir le fruit de son travail entre ses mains leur procure un réel sentiment de fierté. Imprimer en 3D permet également aux enfants de travailler la persévérance car on ne réussit pas toujours du premier coup ! Ce passage de l’idée au concret est très stimulant : il s’agit d’un véritable exercice mêlant expérimentation et créativité.

Chacun de nous est unique, singulier. Nous avons tous notre personnalité, nos émotions, nos forces et nos limites. En grandissant, nous cherchons souvent à nous démarquer par notre manière de travailler, de nous habiller, de communiquer. En vieillissant, nous en arrivons souvent à une certaine remise en question pour trouver notre vrai Soi et enfin, la plénitude.